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Notre Univers – est-il le seul dans le Cosmos?
(une des visions de choses)
Nombreux d’entre nous, intéressés à la cosmologie
et philosophie, lecteurs de presse popularisant les plus recentes nouveautés
dans le domaine d’astronomie, de physique et de la cosmologie, se posent cette
question. Notre savoir sur ce sujet est de plus en plus ample, mais toujours
pas suffisant pour nous permettre avoir une image plus cohérente et plus claire
des événements qui se passent autour de nous.
Beaucoup laisse de supposer, que l’Univers a pris son
commencemet à la suite d’un événement, appelé par les scientifiques « Bing Bang ».
La conception de Bing Bang est dépuis longtemps acceptée par les cosmologues
presque à l’unanimité. Selon cette théorie, lors du Bing Bang une
structure, qui par les cosmologues a été appelée « la singularité initiale » (initial singularity),
se présentant sous forme de la matière d’une densité presque infinie,
possedant de divers inimaginables particularités physiques, de la masse
inimaginablement élevée, comprimée au volume inimaginablement petit, a soudain
commencé de subir des transformations en diverses formes, au début à une
rapidité d’éclair, ensuite de plus en plus lentes, qui au but d’environ de 17,3
milliards d’années d’évolution avaient donné en résultat l’Univers, tel que nous
le voyons à présent.
Au moment de Bing Bang est donc né Notre Univers et tout, ce qui se
trouve sur lui. Sa matière et énergie et toutes les rélations existant
entre elles ainsi que les paramètres physiques leur propres. Dans ce
moment a pris également le début Notre Temps et Notre Espace.
La cosmologie et l’histoire s’occupent des événements,
qui ont eu lieu entre la naissance de Notre Univers et le temps présent.
De ce, qui va se passer dans l’avenir – la futurologie.
Quand à nous, il nous interresse vivement la
reponse à la question : qu’est qu’il y avait avant, c’est à
dire avant le Bing Bang?
Nous n’avons pas, car par la définition même nous
ne pouvons absolument pas avoir, aucun savoir expérimental au sujet de ce qui
se passait avant le début de Notre Temps. Nous povons uniquement
faire les spéculations à ce sujet.
Qu’est qu’il y avait
avant ?
La théorie du Bing Bang ne donne pas la repose à cette question. En
particulier, elle ne repond pas aux questions :
1. est-ce que le Bing Bang était-il le début absolu de tout monde physique
(dans ce cas, à la base de cosmologie, la question qu’est qu’il y avait avant le Bing
Bang ? perd son sens).
2.
ou est-ce qu’il est
seulement le début rélatif d’un stade nouveau (c’est-à-dire que le monde
physique éxistait déja avant, seulement sa forme est inconnue).
Leon Max Lederman, une des
plus grandes authorités du sujet, a écrit: Au
Début Même il y avait un vide – une
forme étrange de lieu désert – un néant qui ne contenait aucune espace, aucun
temps, aucune matière, aucune lumière, aucun son. Pourtant les
lois de la nature étaient à sa place et cet étrange vide possedait le
potentiel. [...] De façon logique le récit commence par le début. Mais ce récit
concerne l’univers et, hélas, nous n’avons aucunes
données sur le Début Même. Rien, zero. Nous ne savons rien sur
l’univers jusqu’au moment, où il arrive à l’age mur de la
billionième de trillionième de seconde – c’est à dire
à un temps très court après sa création dans le Bing
Bang. Quand vous lisez ou entendez quoique ce soit au sujet de la naissance de
l’univers – c’est une invention. Nous sommes dans la sphére des divagations
philosophiques. Seul le Dieu sait ce qu’il s’est passé au Début Même.
Au lieu d’inventer, essayons donc de spéculer, en utilisant un raisonnement logique, basé sur le savoir
actuel acquis par l’humanité.
Chaque évenement a sa cause. Il est évident, que le Bing
Bang, donc Notre Temps aussi, a été provoqué par quelque chose. Si nous
déclinons la tentative d’appeler cette cause l’Acte de Création par la volonté
de Dieu, nous serons obligés d’admettre que la promotrice pouvait
être une raison de nature physique – le dépassement d’un seuil critique
dans un processus dynamique auquel était soumise la singularité initiale
de laquelle il était question plus haut. Jusqu’au moment de Bing Bang le
processus de transformation de cette singularité initiale était stable,
mais après dépassement d’un seuil critique (nous ne savons pas lequel et
tout laisse supposer que nous ne le saurons jamais), a eu lieu l’éclair du Bing
Bang à la suite duquel a pris naissance Notre Temps et
Notre Espace-temps.
Il est logique qu’une telle situation signifie que cette singularité
initiale de laquelle ensuite, à la suite de Notre Bing Bang, a pris
naissance Notre Univers et prit commencement Notre Espace-temps,
dévait déjà exister avant notre
temps – donc dans un Autre Temps. Elle avait dû avoir son commencement dans
une
Autre Espace-temps et provenir d’un Autre Univers. Nous
sommes donc forcés d’admettre qu’avant Notre Temps qui a démarré au moment
de Notre
Bing
Bang, il existait au moins un Autre Temps dans lequel résidait la
singularité
initiale en question ainsi qu’au moins un Autre Univers qui,
logiquement, devait auparavant avoir eu son commencement dans Son
Propre Bing Bang.
Jusqu’a maintenant il n’y a aucune raison logique de prétendre
que ce raisonnement est faux et que cela ne puvait pas se passer de cette
façon. Par contre, il existent des prémisses qui plaident à l’appui
d’une telle façon de déroulement des évenements.
La trace qui indique la direction de recherche d’origines
des singularités
initiales est l’existence dans Notre Univers, découvertes
rélativement récemment – dans la deuxième moitié du XX siècle –
des objets célestes appélés les « trous noirs ». Comme on sait, ces
objets sont les « pièges à matière ». L’existence
des trous noirs découlait déjà des équations de
Quand plusieures étoiles ou trous noirs se joignent
ensemble, il peut arriver la création d’un trou noir dont la masse dépasse la
masse de Soleil de millions fois. Les astronomes soupçonnent l’existence des
trous noirs de ce type au coeur de plusieures galaxies. L’existence d’un tel
trou noir dans le centre de notre galaxie est quasi certain. L’observation de
mouvement d’une agglomération dense des étoiles qui se trouve à la
proximité du centre de notre galaxie prouve, qu’elles tournent autour d’un
petit objet céleste d’une masse énorme, localisée dans un petit volume. Selon actuel
état de connaissance de l’astrophysique, le seul objet qui peut avoir une telle
grande masse comprimé dans un rayon tellement petit, peut être un trou
noir supermassif.
La théorie de
Relativité Générale prévoit au centre de trou noir l’existence d’une singularité
– d’un lieu dont la masse est quasi infinie et dont le volume est presque nul.
C’est la région, où la courbure de l’espace et le champ gravitationnel
deviennent infinis. On peut supposer qu’à l’intérieur de cette singularité
ont lieu les processus qui peuvent mener à la création des conditions
formant la singularité initiale, laquelle, après l’initiation,
dévient la matière première pour le Bing Bang et à la naissance d’un Nouveau Univers et d’une Nouvelle
Espace-temps.
On peut donc formuler une thèse, que les trous
noirs sont les ovaires, dans lequels peuvent naître les Nouveaux Univers. Dans
les trous noirs existent probablement de telles conditions, dans lesquelles
peuvent avoir cours les processus ménant à la création d’une région aux
paramètres de la singularité initiale. Si les
processus qui courent à l’intérieur des trous noirs ménent effectivement
à la création de la singularité initiale et ont
effectivement son seuil critique dont le dépassement provoque l’éclair du Big Bang, il y a alors lieu de façon
inévitable à la naissance d’un Nouveau Univers et de sa
Propre Espace-temps.
Cette hypothèse exige une vérification
expérimentale. Si un jour les astronomes avaient constaté, qu’un des trous
noirs observés actuellement soudain avait disparu, cela aurait présenté un fort
argument à l’appui de cette hypothèse. Cela pouvait alors
signifier, qu’à son intérieur a eu lieu le Bing Bang et que le trou noir a disparu de Notre Univers car il est
dévenu une Autre Espace-temps sous forme d’un Autre Univers.
L’hypothèse içi
formulée mène à la construction d’un modèle, où cet
état non-matériel primaire, décrit par Léon Max Lederman comme « Au Début Même il y avait un vide – une
forme étrange de lieu désert – un néant qui ne contenait aucune espace, aucun
temps, aucune matière, aucune lumière, aucun son. Pourtant les
lois de la nature étaient à sa place et cet étrange vide possedait le
potentiel. » a donné début
à l’Univers primaire qui ensuite a donné début aux multiples
autres générations des Univers descendants et leurs Propres
Espaces-temps. Chacun des univers avec son propre temps et sa propre
espace aurait ensuite évolué à sa propre façon, indépendament de
l’autre, à coté de l’autre et en ignorant l’éxistence de l’autre, car
dans Autre
Temps et dans Autre Espace. Chacun d’eux aurait
pu ensuite donner début aux Univers descendants suivants.
Dans cette perspective la quantité des Espaces-temps
et de la Matière du COSMOS, ce dérnier traité comme
l’ensemble des Univers séparés, aurait la forme infinie, bien que ses
composants (l’Univers primaire et les Univers descendants avec leurs Propres
Espaces-temps) auraient pu avoir les dimensions finies. Dans ce sens
une telle structure présenterait une existence infinie, éternelle, illimitée en
matière, temps et espace, en cours de l’évolution permanente.
Reponse à la question : à quoi aurait
pu être comparée une telle existence et où en venait-elle ainsi
que le développement d’un tel modèle hypothètique, résultant
uniquement de la spéculation mentale, ne pas basé sur aucun fait expérimental,
devrait être donée par les scientifiques, dont en particulier par les
astrophysiciens, cosmologues, philosophes et teologues.
Nous n’avons pourtant toujours pas de reponse à la
question primordiale : de quelle façon le vide primaire immateriel
du Début Même de Lederman a
pris la forme du prémier COSMOS
matériel, début de tous les Univers descendants ?
Révenons maintenant à ce moment particulier,
où le processus de transformation de la singularité initiale du
trou noir a été déclenché, ce qui avait pour résultat l’éclair du Bing Bang. Essayons de trover, par quoi
la continuité de changement de la dynamique du processus aurait pu être
rompue ? Il est évident qu’elle a dû être causé par une
situation particulière, singulière, une telle où la
continuité d’au moins un, peut être plusiers des paramètres du
processus a été rompue et il s’est produit un changement subite de
paramètre/des paramètres ou même son/leur disparition.
Nous ne disposons pas bien sur de données expérimentales
à ce sujet, car par la nature de choses même, nous ne pouvons pas
en avoir aucune. Une fois de plus, nous pouvons seulement spéculer.
Quels processus se passent à l’intérieur de trou
noir ? Il sont certainement milliers, dont la plupart nous ignorons totalement.
Parmi ces processus est pourtant un, dont nous sommes certains qu’il existe –
il est propre au trou noir, il n’existe nul part ailleurs et il est spécifique
à la nature du trou noir.
Les trous noirs sont les seules actuellement connues
régions singulières
de Notre
Univers, où le deuxième
principe de thermodynamique prend le sens inverse. Ce
principe parle d’une augmentation constante d’entropie de la somme des
composants du système (caractérisée comme le degré de désordre, de la
dispersion ou du chaos). Or il est certain, que dans l’enceinte du trou noir la
concentration de la matière augmente, inversement du reste de Notre
Univers où la matière se dissipe. Bien que conformement
au deuxième principe de
thermodynamique, l’entropie de Notre Univers ne peut qu’augmenter
(peut être jusqu’à l’infini), localement dans le trou noir – elle
diminue.
Dans cette situation une question évidente se pose :
jusqu’à quelle, théoriquement possible la plus basse valeur, peut
diminuer l’entropie du trou noir ? Est-ce-qu’à une valeur
infinimement petite, ou peut être jusqu’à zero ? Ou bien
jusqu’aux valeurs négatives même? Si l’entropie du trou noir peut
tomber jusqu’à la valeur nulle, le moment où elle atteigne sur
l’axe de temps cette valeur – présente certainement un point extraordinaire,
provoquant l’apparition de telles conditions étranges, particulières et
extrémales (p.ex. la courbure de l’espace et le champ gravitationnel deviennent
infinis), qu’elles peuvent produire une telle accumulation de ruptures de la
continuité des paramètres soit leur disparition complète, que ce
moment-là aurait pu constituer le détonateur recherché du Bing Bang et de la naissance d’un Univers
Nouveau.
Dans ce sens le moment, où l’entropie du trou noir
atteigne la valeur nulle, aurait dû être compris comme le début de
sa nouvelle éxistence (à partir de la valeur nulle d’entropie vers les
valeurs positifs de nouveau), mais déjà sous forme d’un Univers
Nouveau et d’une Espace-temps Nouvelle.
La vérification du degré de probabilité de cette
hypothèse, aussi bien que de la précedante, demande du temps et doit
appartenir aux scientifiques.
Varsovie, Septembre 2007